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  EXTRAITS DE PRESSE                   

"Le haori de soie" d’après Yasuchi Inoué
«Comment ne pas s’incliner devant l’intensité du jeu d’Emmanuelle Meyssignac et devant
le soin qu’elle a pris à régler chaque détail de la scénographie et de la mise en scène...»
Vincent Morch , Les trois coups.

"La Campagne" de Martin Crimp
«...On passe de vraies en fausses pistes à plaisir tandis que les personnages sont interprétés avec une grande vérité par un trio d’acteurs véritablement parfaits...»
Pierre François,

La France Catholique, oct 2013

"Phèdre" ou de la Beauté de Platon
Ecouter un discours platonicien au coeur de la fureur parisienne n’est pas chose aisée.
Emmanuelle Meyssignac , qui met en scène Patrick Schmitt, nous éclaire, nous guide....

Il est savoureux d’entendre ainsi un texte...La dimension théâtrale se dégage au fur et à
mesure, les mots résonnent dans les pauses qui confèrent au spectacle ce rythme lent
nécessaire au cheminement de la pensée.

Cette mise en scène de Platon nous inscrit dans un temps suspendu, trouve sa force dans l’expression du souffle de l’écriture.

Saluons ce travail d’orfèvre...»
Sabine Dacador-- 2013 Les trois coups

"Le Home Yid" de Jacques Kraemer
«Le Home Yid est un ancien hospice israêlite reconverti en maison de retraite. Ils sont
quatre nonagénaires assis devant nous avec les bribes de leur vie et de leur siècle- le siècle d’Auschwitz. Ils s’effritent en étincelant...puis ils s’éteignent.

On est dans le vestibule du néant mais sans tristesse : c’est une chose encore à vivre et belle, surtout avec Emmanuelle Meyssignac; sous le charme de cette comédienne, on passerait volontiers, avec son personnage, de l’autre côté.»
Jean-Marc Stricker, (France Inter, 2004)


«...Les comédiens n’ont pas l’âge de leur rôle. Mais ils sont parfaits, subtils, discrets
musiciens. Il convient de les citer tous car on ne sépare pas les artistes servant une partition commune : Suliane Brahim, Emmanuelle Meyssignac, Coco felgeirolles et Jacques Kraemer. Ils sont les personnages de cette pièce émouvante...»
Hervé de saint Hilaire, (Le Figaro, 2004)


«le Home yid, un spectacle pudique, plein d’espérance et remarquablement interprété à
l’Atalante»
Pariscope

"Aphrodite" de Pierre Louÿs
Le sobre et très beau spectacle d’Emmanuelle Meyssignac corrige nos idées reçues (sur Pierre Louÿs... Emmanuelle Meyssignac, comédienne et chanteuse est une grande voix de la jeune scène française. Grâce aux subtiles inflexions de sa diction, son timbre s’enrichit d’étranges harmoniques...

C’est bien la première fois qu’une esthétique minimale, au lieu d’ennuyer le public, joue avec son désir pour mieux le compromettre dans une histoire sadique puis tragique....

De l’érotisme à l’horreur , ce spectacle est aussi une leçon de lucidité...»
Christophe Deshoulières, centre presse, courrier de l’Ouest


«Aphrodite ou l’amour à mort ...L’écriture de Pierre Louys est sublimée. Un spectacle
rare.»
Bérangère Adda, le Parisien

"Bérénice" de Racine
«ici, dans la mise en scène de Kraemer, dans le jeu d’Emmanuelle Meyssignac, de Maxime Leroux de Serge Maggiani,oui, nous sommes émus, peut-être laissons-nous échapper quelques larmes...

Tout repose sur les comédiens, ce qui importe est leur présence et leur jeu qui se garde de toute gesticulation...)
Raymonde Temkine, revue Europe

"Andromaque" de Racine
«...on se laisse prendre par cette tragédie.

Il est vrai que les femmes y excelllent tout particulièrement. Collant parfaitement
au personnage d’Andromaque, Emmanuelle Meyssignac captive... Un triomphe féminin»
VSD

"le vrai classique du vide parfait"

d’après lie tseu
«Emmanuelle Meyssignac, Cong Chan : précieuses !»
titre Armelle Heliot , la quotidien de Paris, 1990


«des textes de Lie tseu servis par deux jeunes comédiennes qui ne manquent pas de ressource : Cong Chan ... et Emmanuelle Meyssignac qui laissait déjà deviner sa puissance et sa finesse dans le Misanthrope de Jacques Weber...»
René Solis, Libération

"Les Reines" de Normand Chaurette,

Mes Joël Jouanneau

«Les comédiennes qui incarnent ces reines sont presque effrayantes de violence, decruauté, de haine et aussi d’humour...Les deux stars de la Comédie Française, ChristineFersen et Catherine Hiégel trouvent dans leurs partenaires/adversaires EmmanuelleMeyssignac, Cécile Garcia Vogel et Océane Mozas des rivales impressionnantes...»

L’évènement du jeudi, Philippe Alexandre

"Le Misanthrope" de Molière
«S’il faut retenir une jeune comédienne du spectacle, ce sont les grands yeux et la chevelure brune d’Emmanuelle Meyssignac très à l’aise avec les alexandrins et toujours en rythme avec son personnage...»
René Solis, Libération 1990

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